MARIA TERESA AMARAL  
COMPAGNIE ALEATOIRE DE THEATRE

FORMATION ACADÉMIQUE ET THÉÂTRALE

Diplomée en Philosophie  et  Communication (journalisme audio-visuel) à Rio de Janeiro, Maria Teresa Amaral a terminé en France, à Reims un DESS en Conseiller/ Médiateur, Genre Sexualités à Faculté de Droit et Sciences Politiques de l’Université de Reims, Champagne-Ardenne et le Master 1, et le Master 2 Recherche, en Études Théâtrales, à l’Université Sorbonne Nouvelle, Paris III les trois sur Marlene Dietrich. Pendant deux ans elle suit les Cours d’Interprétation Théâtrale et de Mise en Scène Théâtrale avec Jack Brown, élève de l’Actor’s Studio, Cours d’Expression Corporelle avec Raquel Levy, élève de Martha Graham, Diction et Voix avec Ana Edler, Cours de Dramaturgie avec João Bittencourt,  Playwrighter par l’Université de Yale,  au Studio Produções, et après Maria Teresa Amaral a continué à suivre des cours d’Expression Corporelle et Danse au  Studio Raquel Levy où elle a aussi commencé a enseigner l’interprétation.

ENSEIGNEMENT

Professeur de Théâtre, d’Introduction aux Techniques de Communication, de  Sémiologie, de Radiodiffusion, de Communication de Masse au CUP, à la Pontifice Université Catholique, aux Facultés IntegréesEstácio de Sá, à l’Université Gama Filho, à la Faculté Helio Alonso, à l’Ecole de Théâtre du Centre Des Arts Calouste Gulbekian, Gouvernement de la Ville de Rio de Janeiro et à l’Ecole de Théâtre Martins Pena, Gouvernement de l’Etat de Rio de Janeiro, aux Ateliers Culturels à L’Université de L’Etat de Rio de Janeiro (UERJ). Maria Teresa Amaral a aussi travaillé commeTechnicienne Educative à l’Institut d’Etudes Avancées en Éducation à la Fondation Getulio Vargas et comme Professeur de Philosophie de l’Education pour les directeurs des écoles de FUNABEM de tout le Brésil, Institut Milton Campos. (la FUNABEM appartient au Gouvernement Fédéral et est responsable des enfants qui habitent les rues et/ou infracteurs).

 
MARIA TERESA AMARAL

DIRECTION D’INSTITUITIONS CULTURELLES

Directrice de I’École de Théâtre Martins Pena, Directrice de I’École de Musique Villa-Lobos,Directrice Générale du Département Général d’Ecoles des Arts, Gouvernement de l’Etat de Rio de Janeiro, Directrice du Centre Des Arts Calouste Gulbekian, Gouvernement de la Ville de Rio de Janeiro.

    Activité :
Metteuse en scène, commédienne, critique, produtrice culturelle, professeure universitaire
  Nationalité :
Franco-Brésilienne
  Lieu de Naissance :
Rio de Janeiro, Brésil

ACTIVITÉS ARTISTIQUES

  • Comme comédienne Maria Teresa Amaral a commencé sa carrière en Nós somos todos do Jardim de Infância (Nous sommes tous au jardin d’enfants), de Domingos de Oliveira, puis a participé de Vida e Morte Severina (Vie et Mort Severina) de João Cabral de Melo Neto e a commencé à être aussi assistante de metteur en scène, puis metteur en scène de spectacles. Ainsi elle a été  assistente de direction de la piéce O vaso suspirado (Le vase désiré), de Francisco Pereira da Silva e de A ocasião faz o Ladrão,(L’occasion fait le larron), de Flávio Migliaccio, les deux au Teatro Jovem, aussi de la piéce La tempête, de Shakespeare, dans une mise en scêne de Tite Lemos et  de A Incelência du Groupe Chegança, mise en scène de Luis Mendonça. Puis Maria Teresa Amaral commence à produire, à mettre en scène et à faire les costumes de spectacles où elle continue à être interprète:  Antigona (Antigone) de Sofocles,  Numância, de Cervantes, la création de AMorta (Morte) de Oswald de Andrade. Chaque fois plus elle fait des spectacles où elle n’est plus interprète:  O jogo da hora (Le jeu des heures) inspiré de Os Reis(Les Rois) de Cortazar, pièce d’inauguration du théâtre de son groupe, le Théâtre Porão-Opinião, anexe du Théâtre Opinião, Sim mamãe (Oui, Maman) de Claudio Barreto, LeRoi Lear de Shakespeare,  O Medo (La peur) où elle est aussi l’auteur avec le dessinateur humoriste Lapi. Maria Teresa Amaral revient à son role d’interprète, quand elle met en scène  Mére Courage de Brecht au Musée d’Art Moderne de Rio de Janeiro ( MAM ) et au Espace Casa Rosa du Sesc da Tijuca. Puis elle migre à aux théatres de l’Alliance Française avec A Inquebrável (L’Inlébranlable)de Wanda Fabian (le montage a eu le Prix Mambembe de Meilleur auteur)a Muda (La Muëtte) de Wanda Fabian, aussi comme comediènne, Até Quando?(Jusqu’á Quand?) de Maria Helena Kühner, (le montage a obtenu l’indication de meilleur décor au prix Mambembe). Après avoir fait As Três Faces do Poder (Les Trois Faces du Pouvoir) de Carlos Queiroz Telles, sur le théâtre de Shakespeare, au Théâtre Laranjeiras Maria Teresa Amaral arrête pendant presque dix ans, quand elle aide à fonder le parti PDT avec Leonel Brizola e Darcy Ribeiro et ce parti gagne le gouvernement de l’Etat de Rio de Janeiro, étant le premier gouvernement d’opposition pendant que la dictature se termine.

  • On peut dire que la Maria Teresa Amaral mature commence avec la mise en scène et écriture de Antônio Botto, Leitura à l’Espace Ouvert, Espaço Aberto, inventé par elle et à la Maison de la Culture Laura Alvim - c’était pour durer trois mois et ça a duré trois ans. Puis vient la mise en scéne et les costumes de Opera do Malandro de Chico Buarque de Hollanda au Salão Assyrio du Théâtre Municipal do Rio de Janeiro, que est l’Opera de Rio, avec salles pleines pendant trois mois. Puis elle fait d’une boite de nuit abandonné, avec une grande hauteur jusqu’au toit la Maison de Culture Margarida Rey, nom donné en hommage à une grande commediènne bresiliènne, conçu avec le projet de lumière de Jorginho de Carvalho, le plateau et les chaises qui pouvaient se mouvoir par tout l’espace, un bar qu’elle trouve indispensable. Dans cet espace Maria Teresa Amaral va developper des spectacles écrits ou modifiés par elle, avec de la musique et une mise en scène en trois dimensions, que se doit d’envelloper le public pour l’enchanter, mais sans identification, donc pas aristotelicienne. Pour inauguration LesInvoluntários da Pátria (Involontaires de la Patrie)qu’elle a écrit, Efeitos Colaterais (Effets collatéraux) de Wanda Fabian (elle a le Prix Clara Ramos et celui de la meilleure mise en scène de  l’Association Brésilienne des Ecrivains), EróticaPortuguesa (Erotique Portuguaise) écrit avec Sebastião Lemos, Maria Brasileira (Marie, la brésilienne)à partir d’un texte de Wanda Fabian (ele a le prix de meilleur auteur - avec Wanda Fabian - et de meilleur metteur em scéne accordé par l’Association Brésilenne des Ecrivains), O Penhor desta Igualdade, ecrit par elle. Après cela Maria Teresa Amaral fait Berlim, 1930, aussi écrit par elleau Théâtre Ziembinski et part pour la France. Les spectectacles de Maria Teresa Amaral  , que varient d’un petit format à des enormes mises en scènes, des fois avec plus de vingt comédiens et plus de deux heures, ont comme caracteristique la proximité avec le publique, la presence de la musique, l’importance donné au corps et aux costumes-acessoires plus qu’au décor, à la lumière de Leysa Vidal et l’utilisation de tout le volume de l’espace.

  • À Paris elle fonde la Compagnie Aléatoire de Théâtre et met en scène et fait les costumes de Les Larmes Amères de Petra von Kant, de Fassbinder. Puis elle migre à Langeais, parce qu’amoureuse de la merveilleuse église désacralisée Saint Laurent au elle met en scène, des spectacles produits par la Compagnie Aléatoire de Théâtre, en résidence dans cette ville, avec la direction musicale et/ou la musique d’Ann Gaytan : L’amour avec des mots, de Maria Teresa Amaral, Soirée Culturelle, à partir de Ignacio Cabrujas, Laissées pour mortes adaptation d’après le livre de Salah Rahmouna, Fatiha Maamoura, Nadia Kaci,  La foule elle rit de Jean-Pierre Canet,  JG sur Jean Genet. Après un arrêt Maria Teresa Amaral est dédié avec la Compagnie Aléatoire de Théâtre à un projet culturel au village de Brehemont, Indre-et-Loire et ses environs avec des spectacles-réveils qu’interrogent l’étouffant et le périmé face au changement contemporain.

  • Maria Teresa Amaral a dirigé trois espaces théâtrales et culturels privées : le Porão-Opinião, premier théâtre expérimental de Rio de Janeiro, le Centre Cultura Espaço Aberto à Botafogo, la Casa de Cultura Margarida Rey à Copacabana, tous les trois à Rio de Janeiro. Elle a aussi dirigé le Centro de Artes Calouste Gulbenkian de la Mairie de Rio de Janeiro, les Écoles d’Art de Rio, l’École de Musique Villa Lobos, l’École de Théâtre Martins Pena, les trois de l’Etat de Rio de Janeiro.

  • Coordinnatrice du Projet-Evenement Musical na Boca da Cena ( Musical au Devant de la Scène) au Rio Design Center, centre comercial dédié au design à Leblon, avec la duration d’une semaine, journée et soir, avec des cours, des projections, des ateliers et des débats.

  • Technicienne d’Art et de Culture à la Fondation Rio, de Municipalité de Rio de Janeiro,  pendant dix ans.

  • Metteur en Espace de l’Exposition Retrospective de la peintre Lise Le Coeur et aussi auteur d’un audio-visuel pour cette exposition dans l’Espace-Galerie La Douve de la Mairie de Langeais, Indre-et-Loire, France.

 

TRAVAUX PUBLIÉS OU ENREGISTRÉS À LA SBAT ( Société Brésilienne d’Auteurs Théâtrales)

  • Rédactrice de Diário de Petrópolis; La règle du jeu et l’Etre des Toupies. Lugar 1, Rio de Janeiro; Poésie de l’Education. Lugar 2, Rio de Janeiro; Les systèmes Symboliques. Lugar 3, Rio de Janeiro; traduction de Roi Lear de Shakespeare; O Medo (La peur), pièce de théâtre; colonne de théâtre et critique dans le Journal Tribuna da Imprensa; colonne de théâtre et critique dans le Jornal do Commércio; colonne de théatre et critique dans  Le journal Ultima Hora; critique de théâtre de la Radio Roquete Pinto insérée dans l’emmission “Oi Mulher” (Salut, les femmes!), collaboratrice hebdommadaire à la page Opinião du Jornal dos Sports; Os Involutários da Pátria, pièce de théâtre; Erótica Portuguesa, pièce de théâtre; Maria Brasileira avec Wanda Fabian, pièce de théâtre; O Penhor desta Igualdade, pièce de théâtre; Berlim,1930, pièce de théâtre; Violences physiques, sexuelles faites aux femmes et crimes contre l’humanité avec Natacha Chetcuti, in Violences envers les femmes, trois pás en avantdeux pás en arrière, sous la direction de Natacha Chetcuti et Maryse Jaspard., L’Harmattan, Paris; Monique Wittig, la tragédie de l’amour, avec Natacha Chetcuti, Le Corps mangeant, Corps/ revue interdisciplinaire, CNRS, Dilecta, Paris.

 

PARTICIPATION À DES CONGRÈS, SEMINAIRES ET SYMPOSIUMS, JURYS 

  • Maria Teresa Amaral a participé en tant que membre du débat au Seminaire avec Abraham Moles, ECO, aussi en tant que membre du débat au Seminaire avec Michel Foucault, PUC et a participé au Séminaire avec Jean Baudrillard à l’Université Candido Mendes.

  • Maria Teresa Amaral à participé en tant que membre du débat au II Séminaire d’Éducation Artistique de la Ville de Rio de Janeiro, et aussi en tant qu’organisatrice et membre du débat au I Séminaire d’Education de l’Etat de Rio de Janeiro, Niteroi..

  • Maria Teresa Amaral a participé à l’ECO 92 en tant que représentante du Gouvernement de l’État de Rio de Janeiro ( SEC/RJ )

  • Maria Teresa Amaral à participé du Jury du Prix Mambembe Adulte, et de celui pour Enfants, le deux prix pour le théâtre du Ministère de la Culture du Gouvernement Fédéral du Brésil et duJury du Prix Molière.

 

POSTES, FONCTIONS ET ACTIVITÉS EXERCÉS ACTUELLEMENT

  • Doctorat en cours à l’Université de Minho, Sciences de la Culture,  CEHUM, Artes,   Portugal.

  • Présidente, Directrice Artistique et metteuse en scène de la Compagnie Aléatoire de Théâtre Paris, Langeais, Brehemont à partir de 2009.Maria Teresa Amaral est maintenant dédié avec la Compagnie Aléatoire de Théâtre à un projet culturel au village de Brehemont, Indre-et-Loire et ses environs avec des spectacles-réveils qui interrogent l’étouffant et le périmé face au changement contemporain.

    Selon Maria Teresa Amaral " Un bon théâtre, rénovateur, est une question de la perfection du spectacle, de ses comédiens, de la présence d’un publique et surtout de l’énergie que cet évènement singulier dégage provocant la mutation de toutes ces parties en les transformant en un tout. Ainsi ce spectacle peut avoir lieu partout où il y a des personnes prêtes au sacrifice que cela comporte et à l’éveil que cela provoque. On pourrait dire que les gens de théâtre qui pratiquent cette rigueur sont des espèces de lanceurs d’alerte avec leurs corps et la voix que s’en dégage. Ce qu’ils exercent n’est jamais sans périls et merveilles. "
   

 

L'AMOUR AVEC DES MOTS....