 |
SAPHO
LA DEVERGONDEE Elle
a étonné, déconcerté, voire choqué
la petite fille de Marrakech. Mais elle a toujours voulu croire
que le sacré n'est que l'art et son partage. Alors
mercredi SAPHO a tout donné de son talent, chantant
aussi bien les poètes maudits français que les
classiques arabes, les voyous que les amants. Elle a sonné
jusqu'à sa scène sur laquelle, à la fin
de son concert, chacun qu'il soit d'ici oud'ailleurs pouvait
danser. Et soudain Bab Makina s'est trouvé dans la
chaleur d'un campement gitan, loin de ce que SAPHO appelle
la "frérocité". |
|
|